• <li id="kkkk0"></li>

    Dernière mise à jour à 09h05 le 21/10

    Page d'accueil>>Sci-Edu

    Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

    Xinhua | 21.10.2021 08h45
    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      1/7Photo prise le 19 octobre 2021 montrant la conférence de presse tenue à l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) à Beijing, capitale de la Chine. (Jin Liwang / Xinhua)

    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      2/7Une équipe de recherche de l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) pose pour une photo à Beijing, capitale de la Chine, le 18 octobre 2021. (Jin Liwang / Xinhua)

    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      3/7Une équipe de recherche de l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) pose pour une photo à Beijing, capitale de la Chine, le 18 octobre 2021. (Jin Liwang / Xinhua)

    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      4/7Une chercheuse mène des expériences à l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) à Beijing, capitale de la Chine, le 18 octobre 2021. (Jin Liwang / Xinhua)

    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      5/7Tian Hengci, chercheur associé à l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) travaille sur les échantillons lunaires à Beijing, capitale de la Chine, le 15 octobre 2021. (Jin Liwang / Xinhua)

    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      6/7Les chercheurs discutent des progrès des expériences à l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) à Beijing, capitale de la Chine, le 18 octobre 2021. (Jin Liwang / Xinhua)

    • Chine : étude sur les échantillons lunaires à Beijing

      7/7Une équipe de recherche de l'Institut de géologie et de géophysique (IGG) de l'Académie des sciences de Chine (ASC) pose pour une photo à Beijing, capitale de la Chine, le 18 octobre 2021. (Jin Liwang / Xinhua)

    Les chercheurs chinois ont étudié les échantillons lunaires ramenés par la mission Chang'e-5 et ont daté le plus jeune rocher de la Lune à environ 2 milliards d'années, prolongeant ainsi la durée de vie du volcanisme lunaire de 800 à 900 millions d'années par rapport à ce qui était connu précédemment.

    L'étude, menée principalement par une équipe de recherche de l'IGG de l'ASC, a été présentée dans trois articles de Nature et publiée en ligne mardi.

    (Rédacteurs :Shuang Sheng, Yishuang Liu)
    Partagez cet article sur :
    • Votre pseudo
    •     

    Conseils de la rédaction :

    18禁夜色福利院在线播放